A - Les pièces justificatives des dépenses(3)III - Précisions sur certains points particuliers.III.1 - Délai d'exécution de la dépense et transmission des pièces justificatives.Danslesecteurpublic,ledélaiglobaldepaiementdoitêtrerespecté.Ledépassementdecedélaidepaiementouvredepleindroitetsansautreformalité,pourle titulairedumarchéoulesous-traitant,lebénéficed’intérêtsmoratoires,àcompterdujoursuivantl’expirationdudélaiselondesmodalitésd’applicationfixéesparle décret du 21 février 2002.III.2 - Factures proforma.Lafacture«proforma»estundocumentétablissantleprixd’unemarchandiseoud’unserviceetremiseauclientavantlalivraisonafinquecelui-cipuisseaccomplir certainesprocédures,notammentàl’exportationouàl’importation.C’estenquelquesorteundevis.Ils’agittoujoursd’undocumentprovisoiredépourvudecaractère contractuel destiné à être remplacé par la facture définitive qui seule constitue un mode de preuve.De même une facturette ne constitue en aucun cas une facture et ne peut pas servir de pièce justificative.III.3 - Les duplicatas de facture pour le mandatement et la certification des duplicatas.L’instruction codificatrice de 2016 indique que la production d’une copie des pièces justificatives est admise.Uneexception:encasdecessionoudenantissementdecréancesafférentàunmarchépublic,l’originaldel’exemplaireuniqueouducertificatdecessibilité(article106 duCodedesmarchéspublicsissududécretn°2006-975du1eraoût2006)doitimpérativementêtreproduitaucomptablepublicparlecessionnaireouletitulairedu nantissement sans qu’il soit possible de lui substituer une copie.Endehorsdecettedernièreexception,laproductiondespiècesjustificativespeutprendrelaformedecopies,duplicatasouphotocopies.C’estnotammentlecaspourla justification,danslacomptabilitédelacollectivitémandante,desopérationseffectuéesparunmandatairesoumisauxrèglesdedroitprivé(sociétéd’économiemixte locale,SEML).Danscettehypothèse,lecomptabledelacollectivitédoitdisposerdel’ensembledespiècescorrespondantauxopérationsréaliséesparlaSEML.Or cettedémarcheconduitcettedernièreàsedessaisirdecespièces.C’estpourquoiilestadmisqu’ilsoitproduitaucomptabledescopiesouphotocopiesouduplicatas despiècesjustificatives.Enoutre,lefaitquel’ordonnateurattesteleservicefaitetlecaractèreexécutoiredespiècesjustificatives(cf.paragraphe2.2.1.supra)justifie égalementquelespiècesjustificativespuissentêtredescopies.Demême,enenvironnementdématérialisé,ladistinctiondel’originaletdelacopienepeut s’appréhender de la même façon que pour les pièces sur support papier.Decepointdevue,ilestrappeléqueledécretn°2001-899du1eroctobre2001asupprimélacertificationconformedescopiesdedocumentsdélivrésparlesautorités administratives.Parvoiedeconséquence,l’instructionn°02-046-B-Mdu3mai2002asupprimécettecertificationconformededocumentsparlesordonnateurs.Le décret n° 2003-301 du 2 avril 2003 a confirmé cette mesure pour les pièces justificatives des dépenses des collectivités et établissements publics locaux.III.4 - Certificats administratifs et dépenses.Ilfautattirerl’attentiondescomptablessurlefaitquelaproductiondecertificatsadministratifsnesauraitvalablementsesubstitueràunepiècejustificativeprévueparle décret.Lajurisprudenceindiquequelaproductiond’uncertificatadministratifensubstitutiond’unepiècejustificatives’analysecommel’absencedeproductiondecette dernière.Danscederniercas,lescomptablesdoiventsuspendrelepaiementpourabsenceouinsuffisancedepiècesjustificatives.Toutefois,laproductiondecertificats administratifsestadmisedanslescasoùceux-cisontprévus,demanièreexplicite,parlalistedespiècesjustificatives.Delamêmemanière,lecertificatadministratifne peutêtreutilisépourcompléteroupréciserlesénonciationsdepiècesproduitestellesqu’ellessontréglementéesparlaliste.Eneffet,ilestrappeléquelavalidité(oula valeurprobante)despiècesjustificativesestconditionnéepardescritèrestrèsprécisdeformeetdecontenu.Lorsquecespiècesnerépondentpasàcetteexigence, l’ordonnateurdoitlesrectifieroulescompléter.Pourautant,riennes’opposeàcequel’ordonnateurproduisedespiècesprécisantetcomplétant,entantquedebesoin, cellesprévuesàlalistedespiècesjustificatives. Toutefois,aucasoù,parexemple,l’imprécisionrencontréeleseraitdanslecadred’uncontrat,ilseraitnécessairequela clarification intervienne non par simple délibération mais par un avenant à ce contrat matérialisant l’accord des parties.III.5 - Exigence du RIB du fournisseur.Autre point, l’exigence pour le comptable de disposer du RIB sur la facture ou en tant que pièce jointe pour le paiement.Fourniture du RIB au comptable : une question-réponse au Sénat précise la réglementation sur ce point ; voir le site du Sénat.III.6 - Facture.Est-cequelapiècecomptablequ’onvousprésenteestbienvalable?S’agit-ilbiend’unefactureausensdudécret?Ilsuffitdevérifierquelesmentionssuivantesy figurent conformément à l’annexe C du décret de 2016 :Enonciation des mentions devant figurer sur les factures ou les mémoires :Aucunformalismeautrequeceluiprévuparlecodegénéraldesimpôtsn'estexigépourlesfacturesoulesmémoirestransmisàtitredepiècejustificative.Ilsuffitqueles mentionssuivantesyfigurentexplicitement(l'arrêtéenlettresouenchiffresparl'ordonnateurestobligatoirelorsqu'unemodificationaétéopéréeàlasuited'uneerreur commise dans le montant de la facture ou du mémoire établi par le créancier) :1. Le nom ou la raison sociale du créancier.2. Le cas échéant, référence d'inscription au répertoire du commerce ou au répertoire des métiers.3. Le cas échéant, numéro de SIREN ou de SIRET.4. Date d'exécution des services ou de livraison des fournitures et désignation de la collectivité débitrice.5. Pour chacune des prestations rendues, la dénomination précise, selon le cas les prix unitaires et les quantités ou bien les prix forfaitaires.6. Le montant et le taux de taxe sur la valeur ajoutée légalement applicable ou, le cas échéant, le bénéfice d'une exonération.7. Tous rabais, remises, ristournes ou escomptes acquis et chiffrables lors de l'opération et directement liés à cette opération.Précision sur les PJ exigibles par le comptable pour les dépenses inférieures au seuil de 230 € (c’est le cas de la plupart des DAO).Lesdépensesd’unmontantinférieurà230eurosnenécessitentpasobligatoirementlaproductiond’unefactureoud’unmémoire(arrêtédu27février1989,modifiépar l’arrêtédu3septembre2001).Dansuntelcas,ilappartientàl’ordonnateurd’apporterlesprécisionsnécessairesdanslecorpsdumandatousurunétatétablietcertifié par lui et joint au mandat.Décret80-393du2juin1980,modifiéparl'arrêtédu03/09/2001:«Laproductiondemémoiresoudefacturespourlepaiementdestravaux,fournituresouservices effectuéspourlecomptedel'Etatetdesétablissementspublicsquiendépendent,descommunes,desdépartements,desrégionsetdesétablissementspublicslocaux, n'est pas exigible pour les dépenses qui n'excèdent pas 230 euros dans leur totalité.Ledétaildestravaux,fournituresouservicesestalorsindiquédanslecorpsmêmedel'ordonnanceoudumandatémisaunomducréanciers'ils'agitd'unedépense faisant l'objet d'un ordonnancement préalable ou, s'il s'agit d'une dépense payée par régie d'avances, sur la quittance délivrée par le prestataire.Toutefois,cettemesuredesimplificationn'estpasapplicableauxprestationseffectuéespourlecompted'organismesouservicespublicsredevablesdelataxesurla valeur ajoutée. ».III.7 - Précision sur les PJ exigibles par le comptable pour les achats auprès de particuliers.Réponseministérielle(2018)àunequestionparlementairen°02014.Lesarticles4et5del'ordonnancen°2015-899du23juillet2015relativeauxmarchéspublics permettent,eneffet,auxcollectivitésterritorialesdeconclure,àtitreonéreux,unmarchépublicpourrépondreàleursbesoinsenmatièredetravaux,defournituresetde servicesetd'acquérirainsidesbiensd'occasionauprèsdetoutopérateuréconomiquequecederniersoitunepersonnemoraleouunepersonnephysique.L'annexeC dudécretn°2016-33du20janvier2016fixantlalistedespiècesjustificativesdesdépensesdescollectivitésterritoriales,desétablissementspublicslocauxetdes établissementspublicsdesanté,n'exigepasuncodeSIRETlorsquelevendeurestunepersonnephysique.Eneffet,l'annexeCprécise,parmilesmentionsobligatoires devantfigurersurlesfacturesoulesmémoires,qu'yfigurent«lecaséchéant,lenumérodeSIRENoudeSIRET».Aussi,lorsquel'opérateuréconomiqueestun particulier, qui ne saurait posséder un code SIRET du fait de sa qualité de personne physique, le numéro de SIRET n'a pas à être exigé pour le paiement de la dépense. III.8 - La suspension (rejet) d’un paiement par le comptable.Extrait de l’instruction BOFIP-GCP-16-0008 du 28 avril 2016 concernant la suspension du paiement :L’article38dudécretn°2012-1246du7novembre2012disposeque«sanspréjudicedesdispositionsprévuesparlecodegénéraldescollectivitésterritorialesetparle codedelasantépublique,lorsqu'àl'occasiondel'exercicedescontrôlesprévusau2°del'article19lecomptablepublicaconstatédesirrégularitésoudesinexactitudes danslescertificationsdel'ordonnateur,ilsuspendlepaiementeteninformel'ordonnateur.Cedernieraalorslafacultéderequérirparécritlecomptablepublicde payer».S’agissantdescollectivitésterritorialesetdesétablissementspublicslocaux,cettedispositionestcommentéeparl’instructionn°84-040-M0du8mars1984 complétéeparl'instructionn°94-118M0du12décembre1994.Ilparaîttoutefoisnécessairederappelerquelasuspensiondoitêtreécrite,motivéeetexposerde manièrepréciseetexhaustivetouteslesirrégularitésjustifiantladécisionducomptable(cf.art.L.1617-2duCGCTetarticle66dudécretn°2006-504du3mai2006). Enoutre,ilestsoulignéqu’unesuspensiondepaiementnepeutêtrefondéesurlemotifqu’unacte,bienqueprésentantuncaractèreexécutoireincontestable,porterait atteinteàl’autoritédelachosejugéeparcequ’ilseraitidentiqueàunacteprécédemmentannulé.Cemotifimpliqueuncontrôledelégalitéquin’incombepasau comptableassignataired’unedépense.Danscettesituation,lecomptabledoitsystématiquement,etdanslesdélaislesplusbrefs,saisirledirecteurdépartementaldes financespubliquesafinquecescasexceptionnelspuissentfairel’objetd’unexamenparticulieretdonnerlieuàunconseilaviséàl'ordonnateursurlafiabilitéjuridiquede ladépense.Enfin,ilimportederappelerquelerôledepayeurestindissociabledelamissiondeconseilet,àcetitre,ilrevientauxcomptablesdeserapprocherdes servicesdesordonnateurs,soitpourexpliquerlaréglementationexistante,soitpourpréciserlesexigencesdelalistedespiècesjustificatives,afinquelesdossiersde mandatementpuissentêtrerégulièrementétablis.Lorsquelescomptablesontdeshésitationssurlaconduiteàtenirouqu’unesituationconflictuellerisquedes’établir avecl’ordonnateur,ilsdoiventprendrel’attachedeladirectiondépartementaledesfinancespubliquesafinqu’unepositiondeprincipepuisseêtrearrêtéeparle comptable supérieur.III.9 - La réquisition par l’ordonnateur.La réquisition : un document de l’académie d’Aix-Marseille (2016).Extrait de l’instruction BOFIP-GCP-16-0008 du 28 avril 2016 concernant la réquisition :Conformémentàl'article38dudécretn°2012-1246dudécretdu7novembre2012,l'ordonnateurpeutrequérirlecomptablepublic,lorsquecelui-ciasuspenduun paiement. Le comptable y défère, sauf en cas de :– insuffisance de fonds disponibles ;– dépense ordonnancée sur des crédits irrégulièrement ouverts ou insuffisants ou sur des crédits autres que ceux sur lesquels elle devrait être imputée ;– absence totale de justification du service fait ;– défaut de caractère libératoire du règlement ;–absencedecaractèreexécutoiredesactesprisaunomdelacollectivitéterritorialeoudel’établissementpubliclocal(àl’exceptiondesétablissementspublicsdesanté et des établissements publics sociaux et médico-sociaux).Encasderéquisition,l’ordonnateurengagesaresponsabilitépropreetdéchargecelleducomptablelorsqu'elleestrégulière.S’agissantdelaréquisitiondepaiement,il est rappelé que, pour être un acte juridiquement valable, elle doit être :- écrite et signée par l’ordonnateur ;-incontestable,c’est-à-dire,ainsiquel’aprécisél’instructionn°84-040-M0du8mars1984,«nelaisseraucuneambiguïtésurl’intentiondel’ordonnateurdepasseroutre à la suspension» ;-présentéesouslaformed’unepiècejustificativequivients’ajouterauxjustificationsdeladépense.Unesimpleannotationsurlemandatnerépondpasàces exigences, et ne saurait être assimilée à un ordre de réquisition.Parailleurs,ilimporte,afinquelaresponsabilitéducomptablesetrouvedégagée,quelaréquisition,quiconstitueàlafoislesupportfondantjuridiquementladépenseet lapiècejustificative,soitelle-mêmerégulière,àsavoirqu’ellerépondeauxconditionsdeformerappeléesprécédemmentetqu’ellecomportetouslesélémentsde liquidationdeladépenseafindepermettreaucomptabledes’assurerqu’ilnesetrouvepasdansl’undescasderefusdedéféreràlaréquisition.Eneffet,laréquisition depaiementn’exonèrepasnécessairementlecomptabledesaresponsabilité.Lejugedescomptesdisposeeneffetdupouvoirdemettreendébetuncomptablequia payéaprèsavoirétérequis,maisanégligédesignaleruneouplusieursirrégularitésjustifiantlasuspensiondepaiement.Ilestpréciséquepourlesdépensesrépétitives oudonnantlieuàplusieurspaiements,silaréquisitionestrégulièrepourlepremierpaiement,elleestdénuéedetoutevaleurjuridiquepourlespaiementsultérieurs.En effetconformémentàl'articleL.1617-3duCGCT,chaquemandatdoitdonnerlieuéventuellementàunesuspensiondepaiementdelapartducomptableetàunordre de réquisition particulier de l’ordonnateur.Pour les EPLE, le comptable qui défère à la réquisition de paiement transmet l'ordre et les pièces justificatives à trois destinataires : l'autorité académique la collectivité locale de rattachement la direction départementale des finances publiques qui transmet à la chambre régionale des comptes compétente. Voir aussi la M9-6.III.10 - Contrôle du comptable et TVA.Ilfautrappelerl’étendueducontrôleducomptableenmatièredelégalitéfiscale.Lerisquedemiseenjeudesaresponsabilitéestimportant;laplusgrandevigilance s’impose. Un document de l’académie d’Aix-Marseille (2012) sur ce sujet permet de faire utilement un rappel.III.11 - Contrôle hiérarchisé de la dépense et contrôle allégé en partenariat des dépenses.Voir aussi cette page.Lecontrôlehiérarchisédeladépensedésignelaméthodeconsistantpouruncomptablepublicàproportionnerlescontrôlesexercéssurladépenseauxrisquesetaux enjeux.Samiseenœuvresetraduitparunemodulationdumoment(contrôleaprioriouaposteriori),duchamp(contrôleexhaustifouparsondage)etdel’intensitédes contrôles(toutoupartiedescontrôlesréglementairesprévusauIIdel’article19etàl’article20dudécretrelatifàlagestionbudgétaireetcomptablepublique(GBCP1). Enfin,lecontrôlehiérarchisédeladépenseaboutitàdesprocéduresdedépensemieuxmaîtrisées(normalisationdesprocéduresetaméliorationdesdispositifsde contrôleinterne),plussimples(réductiondunombredepiècesjustificativesproduitesàl’appuidesordresdepaiement)etplusrapides(réductiondudélaidepaiement grâce à l’allègement des contrôles sur les dépenses présentant des risques et des enjeux moindres).Le décret GBCP permet aussi de développer le contrôle allégé en partenariat.Lecontrôleallégéenpartenariat(CAP)estladémarcheréaliséeparl’ordonnateuretlecomptablepublicpours’assurerdelamaîtrisedesrisquesrelatifsàlarégularité del’émissiondesordresdepaiements.Lecomptableacquiertcetteconnaissanceenréalisantunauditdudispositifdecontrôleinternedel’ordonnateur.L’avantage essentielducontrôlepartenarialtientàlamaîtrisedurisquequ’acquiertlecomptabledanscedispositif.L’auditluidonneuneassuranceraisonnablesurlaqualitéde l’organisation,desprocéduresetdudispositifdecontrôleinterneàl’originedelaproductiondel’ordonnateur. Aulieud’intervenirsurlesseulesmanifestationsdurisque, le comptable maîtrise alors les causes du risque.Le décret GBCP donne une assise réglementaire au contrôle hiérarchisé de la dépense et au contrôle allégé en partenariat (art. 42).Arrêtédu11mai2011prisenapplicationdupréambuledel'annexeIducodegénéraldescollectivitésterritorialesportantfixationdesmodalitésdejustificationdes dépenses des collectivités territoriales, de leurs établissements publics et des établissements publics de santéIln’existepasànotreconnaissancedeguideoudeprocédurepourlamiseenplacedececontrôleallégéenEPLE.Pourappréhendercesystèmeonpeutcependant consulter ce guide applicable aux établissements nationaux.III.12 - Facturation électronique.Lecadrejuridiquedelafacturationélectronique,ouvertenFranceparuneordonnancedu26juin2014,estdésormaiscompletgrâceàl'instructionNORECFE1706554J du22février2017relativeaudéveloppementdelafacturationélectronique.Ledocumentrappelleévidemmentlechampd'applicationdudispositif(personnespubliques ettypesdefacturesconcernés)etpréciselesmodalitésd'applicationdelafacturationélectronique.Iltraitenotammentdefaçonpédagogiquedescaslesplus complexes,répondantainsiexpressémentauxdemandesformuléesparlesassociationsd'éluslocauxlorsdelaphasedeconcertationintervenueenamontdela publication du texte.Chorus-Pro.Le portail de la gestion publique.Sur un site de la DFIP la communauté Chorus-Pro.Voir page suivante la suite de l’analyse de ce décret et notamment certains types de dépenses...